Jean-Pierre Poulain (Chair of Food Studies, Taylor’s University – Toulouse/Kuala Lumpur) - Agir sur la consommation alimentaire des ménages est identifié comme un levier majeur pour réduire l’impact de nos systèmes alimentaires sur l’environnement et améliorer la santé des populations. Comment accompagner des changements de pratique vertueux ? Quelle acceptabilité par les consommateurs ?
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De 2014 à 2017
Articles
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Comment changer nos comportements alimentaires ? Le regard du socio-anthropologue de l’alimentation
31 janvier 2014, par Clarisse -
N° 1/ L’anémie en Côte d’Ivoire : l’intérêt d’une approche sociale
16 mai 2017, par ClarisseLa situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire inquiète. Dans ce pays d’Afrique subsaharienne, l’alimentation infantile est au centre des préoccupations nationales depuis plusieurs années. La lutte contre la malnutrition est intégrée dans des programmes nationaux destinés à promouvoir et soutenir une bonne alimentation du nourrisson et du jeune enfant, la protection de l’allaitement maternel et la lutte contre les carences.
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Changer notre alimentation : pour quoi faire ?
29 janvier 2016, par ClarisseJean-Michel Lecerf, nutritionniste, Institut Pasteur, Lille - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Approche sociologique des néophobies alimentaires chez l’enfant
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYÀ partir d’une interrogation sur les enfants autistes, leurs singularités alimentaires ainsi que les difficultés et les ajustements pour l’entourage nourricier autour des repas, les auteurs, sociologues, questionnent les évolutions du répertoire alimentaire et plus particulièrement la phase de la néophobie. Ce travail examine la simultanéité et la complémentarité des processus de socialisation et d’individuation dans les évolutions des pratiques alimentaires des enfants. S’interroger en articulant les approches psychologique et sociologique permet d’explorer les soubassements des normes. Et aussi de distinguer la perspective phylogénétique à tendance universalisante de la néophobie de l’enfant dans le cadre de l’ontogénèse.
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Mexique, méfiance et incertitude dans la lutte contre l’obésité et la sous-alimentation
29 janvier 2016, par ClarisseMiriam Bertran, Université autonome métropolitaine de Mexico - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Chine : une histoire du millet comme aliment santé
29 janvier 2016, par ClarisseGuoqiang Li, Université Paris Ouest, Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Le genre de l’ivresse. Évolution des consommations d’alcool chez les étudiant-e-s
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYLe boire alcoolisé se prête particulièrement bien à une analyse en termes de genre. Cet article examine la construction sociale de la réalité concernant les modalités genrées du boire chez les jeunes, à partir d’une recherche en population étudiante. Entre le toxique et l’aliment, la « culture de l’ivresse » et la « culture du vin », le boire des jeunes et son évolution articulent différentes normes et différents rapports aux normes. L’évolution des rapports sociaux entre les sexes en matière de consommation estudiantine mérite d’être étudiée de près : contrairement aux discours récents de la prévention et de la santé publique mettant l’accent sur l’explosion des consommations chez les étudiants et la dissolution du genre, on observe avant tout le rapport étroit à l’ivresse qui évolue vers la modération et un maintien de la dissymétrie du genre tout au long des parcours de consommation.
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Se nourrir lorsqu’on est pauvre. Analyse et ressenti de personnes en situation de précarité
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYCe numéro de la série Dossiers et documents de la Revue Quart Monde offre une réflexion rare sur le rôle de l’alimentation dans l’inclusion sociale des personnes en situation de précarité. Ce dossier rassemble l’ensemble des travaux et réflexions réalisés ces dernières années par le réseau santé d’ATD Quart Monde sur l’alimentation.
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Que mangera-t-on demain ?
30 janvier 2015, par ClarisseDiscussion entre Michel BRAS, chef gastronomique & Raul MATTA, sociologue - Que nous disent les pratiques et mouvements alimentaires d’hier ? Remontée aux sources préhistoriques de notre alimentation, en passant par les disettes du Moyen-Âge et les « métissages culinaires » en Amérique latine. Puis anticipation sur les alimentations de demain en termes de nouveaux produits, de nouveaux usages, et d’innovations technologiques.
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Alimentation et épigénétique : les enjeux autour des 1000 premiers jours de vie
29 janvier 2016, par ClarisseTristan Fournier, Institut de recherches interdisciplinaires sur les enjeux sociaux, CNRS - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.